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Cloud

Cap sur OpenStack chez IBM

Par La rédaction, publié le 29 avril 2014

IBM s’installe dans le cloud en y transférant la plupart de ses logiciels et services. L’entreprise crée une place de marché métier pour l’achat de services cloud directement en ligne. Avec sa Plateforme-as-a-Service (PaaS) Bluemix, IBM met aussi à disposition une trentaine de services cloud.

Le projet est d’envergure : on y retrouve les framework PHP Zend et Twitto, les deux modules de création de plateformes cloud, les services d’e-mails Sendgrid et Mobile Messaging, un serveur de cloud bare-métal – c’est-à-dire qui fonctionne sans hyperviseur -, des services de sécurité managés et près de 200 patterns de développement logiciel.

 

Ces nouvelles fonctions apparaissent comme un aveu de concurrence directe à Azure et Amazon Web Services (AWS). Mais y a t-il véritablement concurrence ? AWS est opérationnel avec OpenStack à l’aide d’un petit programme en location pour 1 $ de l’heure, et  OpenStack est compatible depuis plusieurs années avec les serveurs Windows Hyper-V. Et comme l’indiquent Franck Lespinasse et Théo Merou d’IBM, « OpenStack est un outil open source flexible et capable d’interopérer avec d’autres logiciels. Pour ces raisons, il constitue l’outil idéal pour qui souhaite développer ses propres services cloud et maintenir des prix abordables ».

 

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