Personne ne sait qu’Oracle a le meilleur OS du cloud
[Oracle OpenWorld 2012] Oracle met à jour Solaris 11 avec des fonctions inédites pour le cloud. Mais seuls ses systèmes hors de prix l’utilisent.
CLOUD. Privé ou public, le cloud est désormais la base de tous développements informatiques modernes. Mais l’environnement de stockage ne fait pas tout. Serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels… Ce sont aujourd’hui l’ensemble des services IT SaaS (Software as a Service), PaaS (Platform as a Service) et IaaS (Infrastructure as a Service) qui sont aujourd’hui la base de l’informatique en nuage. Le cloud est également un enjeu important aussi bien pour les pouvoirs publics (doctrine SecNumCloud de l’ANSSI) que pour les acteurs privés. Avec, au centre, des enjeux d’économies substantielles, d’optimisations bienvenues et d’innovations indispensables. Avec des évolutions telles, que petit à petit, le cloud devient hybride. Toutefois, bâtir un environnement hybride nécessite de choisir la bonne approche. Faut-il concevoir une version privée avec des technologies d’infrastructure d’entreprise qui peuvent s’étendre au cloud public ? Faut-il avoir la démarche inverse pour partir d’un environnement public et étendre progressivement l’usage de ses technologies vers un environnement privé ? Mais deux certitudes : il faut en contrôler les coûts en dessinant une stratégie FinOps pertinente. Tout passe désormais par le contrôle du coût des workloads et du dimensionnement des infrastructures utilisées. La seconde certitude c’est celle de ne jamais négliger la sécurité. Un basculement rapide du patrimoine applicatif dans le cloud peut avoir pour conséquence de créer un important backlog de vulnérabilités où seule une stratégie de zéro trust pourra sécuriser le SI. Rassurons-nous : l’hybridation ne change pas vraiment les métiers de la sécurité informatique. C’est juste plus d’automatisations, plus d’assets à gérer, et quelques outils au niveau de la couche d’abstraction à maîtriser.
[Oracle OpenWorld 2012] Oracle met à jour Solaris 11 avec des fonctions inédites pour le cloud. Mais seuls ses systèmes hors de prix l’utilisent.
[Oracle OpenWorld 2012] Oracle enrichit son cloud public d’une offre Iaas (Infrastructure as a Service) et d’une multitude de fonctions Saas (Software as a Service).
[Oracle OpenWorld 2012] L’Exalogic X3-2 est un puissant serveur conçu pour héberger un cloud. Il a juste le défaut de verrouiller les entreprises sur les technologies Oracle.
[Oracle OpenWorld 2012] L’Exadata X3 est la machine la plus puissante du monde pour traiter des bases de données Oracle. Pour y parvenir, elle utilise beaucoup de mémoire et ne sait rien faire d’autre.
Le premier baromètre du cloud de TNS Sofres et Cloudwatt montre un faible niveau d’usage mais un fort intérêt envers les offres d’origine française.
Motorola Solutions confirme le rachat de Psion et de son catalogue de terminaux mobiles portables, répandus dans le monde professionnel.
La Commission veut créer les conditions d’un marché unique du cloud dans l’Union européenne. Au menu, la promotion de normes techniques et des certifications.
Jusqu’à présent, l’Agence européenne de la sécurité aérienne n’a pas donné son accord pour l’utilisation d’iPad dans les cockpits d’avion. Aux Etats-Unis, en revanche, c’est autorisé.
Afin d’assurer une meilleure durée de vie au stockage de nos données informatiques, Hitachi a créé un système qui enregistre les informations binaires sur une plaque de quartz.
Les DSI font confiance à Google ou à Amazon pour sécuriser leurs données. Mais le manque de transparence du service demeure problématique.