Amazon met l’entrepôt de données en ligne
[re:Invent 2012] le cloud d’Amazon s’enrichit d’un nouveau service à bas prix, le datawarehouse, jusqu’alors réservé aux serveurs physiques de plusieurs millions de dollars.
CLOUD. Privé ou public, le cloud est désormais la base de tous développements informatiques modernes. Mais l’environnement de stockage ne fait pas tout. Serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels… Ce sont aujourd’hui l’ensemble des services IT SaaS (Software as a Service), PaaS (Platform as a Service) et IaaS (Infrastructure as a Service) qui sont aujourd’hui la base de l’informatique en nuage. Le cloud est également un enjeu important aussi bien pour les pouvoirs publics (doctrine SecNumCloud de l’ANSSI) que pour les acteurs privés. Avec, au centre, des enjeux d’économies substantielles, d’optimisations bienvenues et d’innovations indispensables. Avec des évolutions telles, que petit à petit, le cloud devient hybride. Toutefois, bâtir un environnement hybride nécessite de choisir la bonne approche. Faut-il concevoir une version privée avec des technologies d’infrastructure d’entreprise qui peuvent s’étendre au cloud public ? Faut-il avoir la démarche inverse pour partir d’un environnement public et étendre progressivement l’usage de ses technologies vers un environnement privé ? Mais deux certitudes : il faut en contrôler les coûts en dessinant une stratégie FinOps pertinente. Tout passe désormais par le contrôle du coût des workloads et du dimensionnement des infrastructures utilisées. La seconde certitude c’est celle de ne jamais négliger la sécurité. Un basculement rapide du patrimoine applicatif dans le cloud peut avoir pour conséquence de créer un important backlog de vulnérabilités où seule une stratégie de zéro trust pourra sécuriser le SI. Rassurons-nous : l’hybridation ne change pas vraiment les métiers de la sécurité informatique. C’est juste plus d’automatisations, plus d’assets à gérer, et quelques outils au niveau de la couche d’abstraction à maîtriser.
[re:Invent 2012] le cloud d’Amazon s’enrichit d’un nouveau service à bas prix, le datawarehouse, jusqu’alors réservé aux serveurs physiques de plusieurs millions de dollars.
[re:Invent 2012] Le directeur commercial des services web d’Amazon estime que son offre de cloud est désormais suffisamment sécurisée et réglementée pour conquérir l’Europe.
Projet Mercury… tel est le nom de code de la nouvelle suite d’outils sur le cloud que prépare Autodesk pour le BTP. Ces services seront accessibles sur tablettes pour offrir plus de puissance aux équipes terrain.
L’armée suisse a décidé de revendre les 60 000 bunkers qu’elle possède à l’intérieur de ses montagnes. Premiers intéressés, les hébergeurs entendent proposer des centres de données capables de résister à une attaque nucléaire.
Le groupe Toshiba vient de présenter un robot d’intervention pour les zones à fort rayonnement. Contrairement aux robots nucléaires français, ce prototype nippon utilise des pattes articulées pour se déplacer.
Tables tactiles, projecteur 3D, sol interactif,… L’éditeur met à disposition des enseignants un espace rempli de technologies dernier cri, pour qu’ils puissent imaginer de nouvelles pratiques pédagogiques.
En rachetant Meraki, Cisco se dote aussi d’un logiciel de supervision, utilisé en mode cloud, pour gérer les mobiles connectés.
Les prestataires de proximité essaient de convaincre leurs clients qu’un cloud privé vaut mieux que le cloud public. Même si c’est beaucoup plus cher.
La carte Xeon Phi qui équipe ces jours-ci un supercalculateur au Texas n’est autre que la première implémentation commerciale du projet Larrabee lancé par Intel en 2008.
Le Cray Titan atteint une puissance de calcul hallucinante de 17 pétaflops, mise au service de la science.