SAP rachète SuccessFactors pour 3,4 milliards de dollars
L’éditeur allemand tente de rattraper son retard patent en matière d’offre RH en mode Saas.
CLOUD. Privé ou public, le cloud est désormais la base de tous développements informatiques modernes. Mais l’environnement de stockage ne fait pas tout. Serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels… Ce sont aujourd’hui l’ensemble des services IT SaaS (Software as a Service), PaaS (Platform as a Service) et IaaS (Infrastructure as a Service) qui sont aujourd’hui la base de l’informatique en nuage. Le cloud est également un enjeu important aussi bien pour les pouvoirs publics (doctrine SecNumCloud de l’ANSSI) que pour les acteurs privés. Avec, au centre, des enjeux d’économies substantielles, d’optimisations bienvenues et d’innovations indispensables. Avec des évolutions telles, que petit à petit, le cloud devient hybride. Toutefois, bâtir un environnement hybride nécessite de choisir la bonne approche. Faut-il concevoir une version privée avec des technologies d’infrastructure d’entreprise qui peuvent s’étendre au cloud public ? Faut-il avoir la démarche inverse pour partir d’un environnement public et étendre progressivement l’usage de ses technologies vers un environnement privé ? Mais deux certitudes : il faut en contrôler les coûts en dessinant une stratégie FinOps pertinente. Tout passe désormais par le contrôle du coût des workloads et du dimensionnement des infrastructures utilisées. La seconde certitude c’est celle de ne jamais négliger la sécurité. Un basculement rapide du patrimoine applicatif dans le cloud peut avoir pour conséquence de créer un important backlog de vulnérabilités où seule une stratégie de zéro trust pourra sécuriser le SI. Rassurons-nous : l’hybridation ne change pas vraiment les métiers de la sécurité informatique. C’est juste plus d’automatisations, plus d’assets à gérer, et quelques outils au niveau de la couche d’abstraction à maîtriser.
L’éditeur allemand tente de rattraper son retard patent en matière d’offre RH en mode Saas.
Les composants en 3D d’IBM promettent de rendre les PC, les serveurs et les smartphones 15 fois plus rapides.
[HP Discovery 2011] Le serveur B6200 de HP parvient pour la première fois à mélanger une sauvegarde dédupliquée et une autre en cluster, deux processus normalement contraires.
En pleine crise de l’euro, l’Europe de l’Ouest est la seule région du monde où les constructeurs ont vendu moins de serveurs que l’année dernière.
Severalines et City Network lancent un service de base de données dans le cloud, dont l’infrastructure est basée en Europe.
La prochaine génération de serveurs Superdome et Integrity intégreront des lames x86 pour leur permettre d’exécuter des machines virtuelles Linux ou Windows.
La dernière version du serveur Poweredge M915 intègre quatre exemplaires du plus puissant des processeurs x86, l’Opteron 6200.
Attaqué pour avoir arrêté ses logiciels sur Itanium, Oracle rétorque que ces serveurs sont condamnées et que HP paye Intel pour faire croire le contraire.
La course contre la montre est engagée, notamment chez Intel. Objectif : délivrer un premier ordinateur de classe Exascale avant la fin de la décennie. Un pari loin d’être simple à gagner.
[CA World 2011] Cloud Commons s’enrichit d’une fonction boutique pour que les acteurs de l’écosystème AppLogic puissent commercialiser leurs offres cloud très propriétaires.